Négociations mondiales tendues ces jours-ci : alors que le sommet du G20 s’ouvre ce lundi sans espoir de grandes avancées, la COP 29 piétine. Les principaux dossiers à l’ordre du jour à Rio de Janeiro et à Bakou peuvent être différents – transition climatique, Ukraine, Proche-Orient, Mercosur, ou initiative de Lula d’une alliance mondiale de lutte contre la faim et la pauvreté- mais ils ont des points communs. D’abord le financement -très difficile- des actions. Puis , en arrière-plan le retour de Donald Trump qui changera bien des choses : en effet, ce pourfendeur du multilatéralisme théoriquement pratiqué à la COP et au G20 préfère le bilatéralisme basé sur un rapport de force. Et surtout, ces événements mondiaux reflètent une nouvelle constante dans ce monde qui change, se cherche, se divise et vit de dangereuses tensions géopolitiques. Cette nouveauté, c’est la révolte des pays en développement, du Sud global qui réclame aux pays industrialisés qui, estiment-ils, les ont exploités durant des années, une aide conséquente. Intervenant il y a quelques jours à Bakou, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres s’est rangé de leur côté : « Vous avez le droit d'être...
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