Le mouvement Ennahdha dément, catégoriquement, l’accusation qui lui a été adressée par le Secrétaire Général adjoint de l’UGTT, Sami Tahri, d’être derrière « la fuite d’un faux document » visant le Secrétaire Général de la centrale syndicale, Noureddine Taboubi.
Le mouvement réitère dans un communiqué, son « respect à la personne de Taboubi, et dit s’élever par rapport à ces pratiques visant à semer la discorde parmi les Tunisiens ».
Le parti dit se réserver le droit d’engager des poursuites judiciaires contre celui qui l’accuse à tort.
Le mouvement dénonce, en préambule, les déclarations hostiles relayées sur les réseaux sociaux, ainsi que le mensonge et le dénigrement le visant.
Il condamne, par ailleurs, « les personnes impliquées dans la vague des incendies qui se sont disséminés dans l’ensemble du pays, et appelle les autorités à assumer leur responsabilité et à ouvrir une enquête sérieuse et transparente pour révéler les personnes impliquées dans ces crimes et protéger les biens publics et privés ».
Là aussi, Ennahdha se dit déterminé à poursuivre en justice tous ceux qui l’accuse de ces crimes, à titre mensonger et fallacieux.