Le porte-parole du Tribunal de 1ère instance de Tunis, Mohsen Dali, a déclaré à Mosaïque Fm que la police scientifique auprès du ministère de l’Intérieur a conclu qu’il n’y a aucune substance toxique ou explosive dans la lettre adressée à la présidence de la République, en date du 25 Janvier. La police scientifique a, par ailleurs, rendu les restes de la lettre à la présidence de la République.
Il en ressort de ses conclusions qu’il faut chercher, auprès des services médicaux de l’hôpital militaire, les raisons des complications sanitaires subies par Mme Nadia Akacha, la directrice du Cabinet présidentiel.