La plainte émane de quatre associations, rapporte le Monde qui détaille l’affaire: l’Association des Palestiniens de France – Al Jaliya, Justice et droits sans frontières (JDSF) et le Mouvement du 30 mars, basé à Bruxelles. Elle vise un soldat franco-israélien, Y. O., qui a filmé un prisonnier palestinien avant que la vidéo ne soit diffusée par son neveu, à Lyon, sur les réseaux sociaux.
L’avocat des plaignants estime que Y. O. «porte au plus haut l’humiliation en passant parmi les Palestiniens menacés et prostrés sur le sol avec une attitude odieuse faite de supériorité, de mépris, de provocation», rapporte le quotidien français. La justice doit maintenant se prononcer sur la recevabilité de la plainte.