La Grande-Bretagne a déclaré qu’elle ne vendrait plus d’armes à Israël si le personnel de la Croix-Rouge n’était pas autorisé à rendre visite aux terroristes de la force Nukhba, auteurs des tueries du 7 octobre, détenus dans le pays.
David Cameron, le ministre britannique des Affaires étrangères, a déclaré à Israël que si cette demande n’était pas satisfaite, la Grande-Bretagne soutiendrait également un embargo sur les ventes d’armes en provenance de toute l’Europe. Les Britanniques, qui mènent le mouvement pour qu’Israël autorise les visites aux terroristes capturés, affirment que le refus du pays d’accéder à une telle requête constitue une violation du droit international.
Israël, de son côté, se donne le droit d’empêcher ces visites en invoquant des raisons de sécurité.