La coupure des télécommunications et d’internet dans la bande de Gaza soumise à d’intenses bombardements israéliens risque de « servir de couverture à des atrocités de masse », a averti samedi l’organisation de défense des droits humains Human Rights Watch (HRW).
Amnesty International a pour sa part dit avoir perdu contact avec son personnel à Gaza. « Cette coupure des communications signifie qu’il sera encore plus difficile d’obtenir des informations et des preuves essentielles sur les violations des droits humains et les crimes de guerre commis contre les civils palestiniens à Gaza, et d’entendre directement ceux qui subissent ces violations », a déploré l’ONG.